« On ne peut pas construire l’avenir d’une ville si on ne connaît pas son passé. »
Pour réaliser cet adage de François Zocchetto, il faut que la mémoire et les supports, audiovisuels en l’occurrence, restent intacts. Et en la matière, ils sont rapidement obsolètes. « Le risque de tout perdre est réel.» Numériser ces archives était devenu nécessaire.
Un coût global de 20 000 euros
Au moins 1 500 cassettes des archives audiovisuelles de Laval vont faire l'objet de cette numérisation, des copies de vieux films. Mais il y a aussi des masters, des rushs. La souscription ou autres subventions permettra de réaliser ce projet.
L'intégralité de cet article est à retrouver dans l'édition du Courrier de la Mayenne de jeudi 15 novembre 2018
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