Nathalie Milcent connaît bien son sujet : l’entreprise. Autodidacte, elle a pu se hisser jusqu’à de hautes fonctions comme celle de directrice régionale dans l’intérim. Mais parce qu’elle a vécu un burn-out, parce qu’elle sait que le monde du travail amène parfois à la perte de sens car privilégiant souvent le CV au détriment des talents, elle s’est lancée dans l’accompagnement en ressources humaines.
« Je crois au troc de compétences »
Aujourd’hui, elle veut passer à une étape supérieure, en institutionnalisant son accompagnement dans le dur, elle veut créer une ‘‘Maison’’ pour cela. Elle veut également fonctionner dans le cadre d'un de troc de compétences « pour qu’on avance ensemble dans nos projets : untel me conçoit une vidéo, et moi je l’accompagne sur ses problématiques. »
L'intégralité de cet article est à retrouver dans l'édition du Courrier de la Mayenne du jeudi 15 novembre 2018.
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