Diane élève seule Steve, un adolescent très perturbé.
Le réalisateur de J’ai tué ma mère signe un magnifique hommage à l’amour maternel. En adoptant un format carré (le 1:1), il concentre l’attention des spectateurs sur les visages de ses trois personnages. Et quels visages ! Les trois comédiens sont stupéfiants d’émotion, de colère et d’amour, et ils parviennent à passer d’un trouble à l’autre sans hésitation. L’histoire, bouleversante, oscille entre comédie et drame, mais elle est traversée par une belle énergie et, surtout, un amour de chaque minute. Cette œuvre forte et puissante montre que rien n’est jamais perdu, et que seul l’amour et la volonté de s’en sortir sont efficaces.
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