« Nous habitions en Macédoine, mais nous travaillions à quelques kilomètres, au Kosovo. Nous sommes bûcherons ». 2015 : des heurts à la frontière opposent la Macédoine, le Kosovo et l’Albanie. D’un côté comme de l’autre, les riverains s’organisent en milices. Fejzi et ses deux beaux-frères doivent choisir un camp, sous peine d’être accusés de trahison. Leur seule alternative, c’est la fuite.
« Nous sommes arrivés en France en 2015, puis nous sommes retournés en Macédoine en 2016 ». Mais la situation ne s’est guère arrangée. Fejzi risque dix ans de prison pour désertion. « Nous sommes revenus en France, il y a tout juste un an, le 19 décembre 2017 », se souvient Mevlida, l’épouse de Fejzi.
Lire l'intégralité de cet article dans le Courrier de la Mayenne du 20 décembre, actuellement en kiosque.
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