Les regards sont humides, mais parce qu’ils pétillent et les sourires sont sur tous les visages. Il y a foule à la Maison rigolote pour rendre hommage à « ce petit gars du quartier », comme se remémore Martine, une personne qui a vu grandir cet artiste lavallois dans le bas de la rue du Hameau.
Il est question d’Antoine Alliot, dit Titou, disparu en 2017. Et de son œuvre d’une grande qualité enfin visible à Laval, sa ville d’origine. Il a effectivement fréquenté l’école des Pommeraies et celle du Val-de-Bootz, puis les collèges Pierre-Dubois et Emmanuel-de-Martonne, avant d’obtenir son bac au lycée Douanier-Rousseau.
Un métier rare
Ce sont les Beaux-Arts de Caen qui lui délivrent ensuite un master, qu’il complète brillamment par un cursus à Metamorphoses, l’école des maquilleurs, à Strasbourg. En effet, cet artiste surdoué, tout juste trentenaire, exerçait un métier rare : celui d’accessoiriste et prothésiste en effets spéciaux physiques pour le cinéma.
Lire l'intégralité de cet article dans le Courrier de la Mayenne du 7 février, actuellement en kiosque.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.