Jusqu'au 31 mars, Pauline Lardeux va participer au mois sans supermarché. Pauline ne s’est pas lancé ce défi par hasard. « Cela fait déjà un moment que j’essaie de me rendre le moins possible dans les supermarchés, explique la jeune femme. On surconsomme. Un supermarché, ce sont des rayons à tentation. Tentée par des promotions, cela m’est arrivé de ne pas consommer les produits à temps. C’est du gâchis. »
Dans une tendance écologique, elle aspire aussi à réduire ses emballages. « Je suis plus dans une logique de vrac maintenant, reconnaît-elle. A Segré, des commerçants avaient eu la bonne idée de permettre à leurs clients de récupérer leurs achats dans des boîtes. »
Bouder le supermarché ne va pas pour autant être une sinécure. « Je ne vais pas faire de stock avant, assure Pauline. Je vais fonctionner comme je le fais habituellement dans mon quotidien », poursuit celle qui allait traditionnellement une fois par semaine en moyenne dans une grande surface.
Retrouvez l'intégralité de son témoignage dans Le Courrier de la Mayenne du jeudi 28 février.
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