Guillaume Garot l'annonce : « ma décision n'est pas prise ». L'ancien maire de Laval et député de la première circonscription sera-t-il la tête de liste d'une gauche rassemblée à Laval ? Cela paraît compliqué. Mais, il aura un rôle à jouer. Un temps évoqué, la piste Antoine Caplan, ancien collaborateur de Guillaume Garot, à la mairie de Laval, semble s'être refroidie.
A gauche, les communistes et les écologistes sont prêts à travailler auprès du PS, mais plus dans les conditions de 2014. Le rapport de force n'est plus le même. Au point qu'un membre de la société civile, aux idées de gauche, pourrait bien être la tête de liste. Reste à trouver l'oiseau rare.
Chez En marche, on attend les élections européennes. Si les bons scores des présidentielles et des législatives à Laval se confirment, le parti d'Emmanuel Macron n'exclut pas de monter sa propre liste à Laval. Mais, la présence de Béatrice Mottier au sein de l'équipe de François Zocchetto rend tout de même difficile cette option.
Chez les extrêmes
A l'extrême droite, Jean-Michel Cadenas (Rassemblement national) sera candidat. Jean-Christophe Gruau, conseiller municipal d'opposition, exclu du parti de Marine Le Pen, souhaite aussi être tête de liste. Trouvera-t-il le nombre de colistiers suffisant ?
A l'extrême gauche, La France insousmise annonce entrer dans le débat au moment voulu. Jean-Marc Bédue, candidat en 2014, peut-il reprendre le flambeau ? Quant à Lutte Ouvrière, Martine Amelin pourrait bien se relancer.
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