Dans l'atrium du campus de Noz, à Saint-Berthevin (Mayenne), les drapeaux flottent au-dessus des bureaux. Ici, un drapeau espagnol, là un drapeau polonais. Ils indiquent les secteurs géographiques sur lesquels les acheteurs travaillent.
Roumanie, Mexique, Chine...
Un certain nombre d'entre eux représentent aussi le pays d'origine des salariés de l'entreprise. Le siège de Noz n'emploie pas moins de 40 nationalités différentes : Roumanie, Chine, Mexique, Italie, Turquie... « On achète des stocks dans le monde entier », explique Rodolphe Brasseur, chargé de la marque employeur Noz. Alors qui mieux qu'un natif d'un pays peut échanger dans sa langue maternelle avec un fournisseur à l'autre bout de l'Europe ou de la planète ?
Le résultat est un melting-pot de cultures. Repas partagé où chacun apporte un plat typique, partage de traditions à l'occasion des fêtes de Noël... Avec la Covid, les manifestations conviviales sont mises à mal, mais l'entraide demeure.
Une société pour laquelle être étranger est important
La jeune femme, Russe d'origine, est très heureuse de travailler pour l'univers Noz depuis deux ans.
Après ses études à Rennes et un passage par la Mayenne dans l'entreprise Pronuptia, elle n'a pas hésité à venir s'installer dans le département quand elle a découvert le travail proposé par Noz.
Victoria manage neuf personnes
Victoria, elle, était arrivée à Laval du Mexique pour raisons familiales, il y a quatre ans. Après une rupture, celle qui avait lâché son entreprise outre-Atlantique a mis son espagnol au service de Noz.
Désormais, elle manage l'équipe de neuf personnes dédiée à l'Espagne et au Portugal. « L'entreprise m'a fait évoluer. C'est magnifique. »
Une vingtaine de postes à pourvoir ce jeudi
Et Noz a encore d'autres opportunités à offrir. L'entreprise recherche une vingtaine de profils bilingues. « Nous recherchons surtout des gens qui parlent anglais, espagnol et italien », précise Rodolphe Brasseur.
Ce jeudi 22 octobre, la société organisera un Opportuni'day, une technique de recrutement originale basée sur le serious game. « Nous continuons à nous développer. L'objectif est d'ouvrir dix à vingt magasins par an », conclut l'employeur.
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