Vieux de plus de 2 000 ans, le métier de maréchal-ferrant est encore bien présent. Stéphane Bréhin, 47 ans, installé à Averton, a choisi cette profession :
Bien décidé, il passe le concours d'entrée à l'école du haras du pin et il est retenu.
L'exigence de la formation et sa passion permettent de décrocher le CAP et de faire l'armée à Fontainebleau dans la maréchalerie.
Mini-tour de France
Après un mini-tour de France, il s'installe d'abord à Villaines puis à Averton.
Le métier de maréchal-ferrant exige de nombreuses qualités, notamment physiques, relationnelles avec l'animal car, "le comprendre facilite le travail" et, avoir de bonnes connaissances de biomécanique pour détecter d'éventuels problèmes.
De très nombreux types de fers à cheval existent en fonction de la taille de l'animal, de la discipline, de la forme du sabot...
Cette "pédicurie chevaline" est sans douleur car le fer est fixé dans la corne, les clous n'atteignant pas le derme.
A fait partie de l'équipe de France
Comme l'indique son nom, le fer à cheval est en fer mais peut également être en alu, en plastique ou en matériaux composites.
Stéphane Bréhin intervient à l'école de St-Hilaire-du-Harcouët où il forme des apprentis.
Concours de maréchalerie
En relation avec son métier-passion, il participe à des concours de maréchalerie comme l'attestent toutes les coupes et trophées qui ornent les murs de son bureau.
La France compte 2 500 maréchaux-ferrants dont 12 en Mayenne. Un métier exercé par des passionnés, qui allie à la fois la dextérité, concentration et amour des équidés.
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