C’est avec son binôme F1, une chienne galster, race issue du croisement du braque allemand avec le lévrier galgo, que François Lebossé, 20 ans, un habitant de Saint-Denis-de-Gastines, prendra le départ des championnats du Monde de canicross.
Ce sport consiste à courir attaché avec un chien, « en fusion avec notre compagnon », souligne le jeune homme.
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Animaux, sport et nature
Actuellement en 1re année de BTS Productions Animales à Agricampus Laval pour devenir vétérinaire ou pour travailler dans le para agricole, François Lebossé a toujours eu trois grandes passions : les animaux, le sport et la nature.
Le canicross se pratique sur des distances souvent inférieures à 8 km, « pour le bien-être du chien car c’est un effort très physique ».
Ce sport est, « en plein boom ». Le coureur indique que le nombre de licenciés de la Fédération des sports et loisirs canins (FSLC), « a augmenté de 45 % en un an pour atteindre les 3 000. »
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40 à 50 km par semaine
Tous les chiens, de pure race ou croisés, peuvent faire du canicross.
En octobre, François, licencié au Canicrossbreizh de Plédran, a participé à un challenge régional à Plédran et s’est qualifié pour le Trophée fédéral à Ligugé (86) :
800 participants du monde entier
Classé 37e sur 327 canicrosseurs et 22e senior homme sur 77, François est invité au championnat du monde de Plédran, organisé par son club, du 28 avril au 1er mai.
A l’avenir, François Lebossé aimerait, « démocratiser ce sport et avoir [son] propre chien ».
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