Atol - Edwige Leray est opticienne Atol à Mayenne (53). Son cheval de bataille, c’est la réduction de sa consommation d’eau. Et à en croire ses factures, cela paye !
Alors au moment de remplacer sa machine, elle a choisi une option qui ne lui a même pas été proposée par le commercial. « Il s’agissait d’un bac récupérateur qui permet de réutiliser les 20 litres d’eau pendant trois semaines à un mois, et pour le même prix qu’une machine sans récupérateur. De 43 m3 d’eau par an, je suis passée à 5. »
Depuis, pour compléter ses éco-défis, Edwige a installé des mousseurs à eau sur ses lavabos et effectué un réglage sur sa chasse d’eau pour diviser encore par deux sa consommation.
Des ampoules led
Les luminaires de la boutique ont aussi été remplacés par des ampoules à led. « Ils me restent quelques changements à faire. »
Edwige Leray ne donne plus de sacs en papier à ses clients, « uniquement des sacs en tissu et moins souvent. J’ai aussi arrêté d’utiliser des mouchoirs en papier pour nettoyer les verres. Je n’utilise plus que des lingettes microfibres ». Dans le même esprit de réduction des déchets, aujourd’hui tous les flacons de produits nettoyants sont réutilisables.
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Cheveux d’Angèle - Angélique Avenant, responsable du salon de coiffure Les cheveux d’Angèle à Mayenne, s’est lancée dans sa démarche écologique depuis trois ans. « Ça fait partie de mes convictions. » Au salon, ses colorations sont végétales. « Je n’utilise plus de chimie. Les clients faisaient de plus en plus d’allergies, mes employées aussi… mais il existe des alternatives. Ça a mis un peu de temps avant de fonctionner et on est plus limité dans les choix de couleurs. » Angélique fait beaucoup de pédagogie auprès de ses clients.
Ses produits, la coiffeuse les propose aussi en vrac à ses clients. « Je le faisais aussi avant avec la chimie. »
Autre gros changement pour Angélique Avenant, c’est l’arrêt du sèche-linge pour ses serviettes de toilette et ses peignoirs.
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Prochainement, la commerçante va arrêter l’usage d’essuie-tout en recyclant de vieilles serviettes en turban. Sur les conseils du centre permanent d’initiatives pour l’environnement (CPIE) de Mayenne, elle va désormais recycler son papier aluminium en arrêtant simplement de le mettre en bou
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