À l’intérieur, rien n’a été laissé au hasard.
J’ai fait appel à un acousticien, John Brandt. Il a dessiné des morceaux de bois modulables pour la réverbération du son. Il y a la salle de la console, celle pour les groupes et deux autres cabines dont une pour les chanteurs.
Un peu plus loin, dans une autre cabine, trône un piano à queue Bechstein C de 1904 restauré.
Dernièrement, le rappeur rennais Lujipeka est venu profiter des installations lors de sa venue au festival Au Foin de la rue. D’autres projets arriveront au studio dans les mois à venir. Luke
Aaron Clark garde toujours sa ligne : « Pour moi, l’idéal est d’aider un maximum les artistes dans leur musique. »
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