"J'ai toujours rêvé des concours de Miss, c'est un rêve d'enfant !" Anaïs Mareau a été élue Miss International Pays de la Loire le 20 mai dernier. Il s'agit d'un 4e titre pour la jeune femme de 25 ans, originaire de Loupfougères. Grâce à ce nouveau titre, Anaïs Mareau sera la première Mayennaise à représenter la région à l'élection de Miss International France, qui se déroulera cette année à Roubaix, le dimanche 24 septembre.
Celle qui enseigne la bio technologie en collège, métier qu'elle "adore", dit avoir une passion pour ces concours qui ont été pour elle un moyen d'accepter son corps, de vaincre sa timidité et de prendre confiance en elle : "Pour quelqu'un d'introvertie et timide, pas le choix que de sortir de sa zone de confort. Mais quand je défile, je me sens bien, je me sens moi-même."
Pour participer au concours de Miss International, "il n'y a pas de critère physique, la sélection se fait sur dossier sur lequel on présente nos motivations pour représenter notre région. Il faut avoir entre 18 et 28 ans sans tatouage, ne pas être mariée ou pacsée, ni être maman". Mais ce concours est aussi pour Anaïs Mareau l'occasion de défendre une cause qui lui tient à cœur : l'accès à la culture et à l'éducation pour tous dont elle se fait le porte-voix au moment de ses présentations devant le public et le jury.
"Il est important de se connaître"
La France a été représentée pour la première fois au concours Miss International en 1960. Mais avant ce graal, il y a l'étape de Roubaix pour Anaïs. Pour avoir des chances de porter l'écharpe nationale, rien n'est laissé au hasard, encore moins les deux robes qu'elle a choisies avec les conseils avisés de Nathalie Crespel de Mariage Concept Store à Mayenne.
Même si Anaïs respecte une hygiène de vie saine et une alimentation équilibrée, pour elle, ces concours restent un plaisir et un moyen, "de s'accepter tel qu'on est". Mais attention : "Il est important de se connaître pour ne pas se dévaloriser quand on est confronté à une défaite", avertit Miss International Pays de la Loire 2023. Si Anaïs devait remporter le titre à Roubaix, c'est ensuite à Tokyo, au Japon, qu'elle irait défendre les couleurs de la France. Mais Anaïs Mareau vit le moment présent : "Jour après jour ! Pour ne pas être déçue, il faut profiter de l'instant présent et pour l'instant, je suis fière de porter l'écharpe régionale."
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