« Je n'ai pas vécu comme tous les jeunes, je suis devenu le champion de ma rue. » Il n'a pas fallu longtemps à Philippe Dalibard, né en 1958, pour comprendre que son histoire d'amour avec le vélo serait le fil rouge de sa vie.
De ses premiers coups de pédale pour aller à l'école de Bonchamp à son travail de vendeur de vélos dans un magasin, en passant par son titre de champion de France amateurs à Charleville-Mézières en juillet 1981, la carrière du Mayennais a été faite de hauts et de bas.
« J'ai pris le vent en pleine gueule », exprime l'ancien coureur. Et comme il « avait des histoires à raconter », Philippe Dalibard en a sorti un livre, écrit par Philippe Vasseur, intitulé Vent de dos, vent de face.
Des histoires à raconter
Dans l'épilogue de son livre, Philippe Dalibard explique qu'il l'a écrit « avant tout pour laisser mon témoignage à mes enfants et à mes petits-enfants. J'aurais tellement aimé que mes aïeuls puissent me raconter leur histoire ».
On y retrouve différentes anecdotes sur la vie d'un coureur qui a tout fait pour vivre de sa passion, partagé entre le monde amateur et professionnel, et qui faisait partie des 200 meilleurs coureurs français à l'époque, ce qui lui aurait permis aujourd'hui de faire partie de l'élite des professionnels.
Ses « sales périodes », ses moments de gloire dans les années 1980 avec plusieurs victoires lors des Boucles de la Mayenne, ou encore sa vision du cyclisme d'hier, d'aujourd'hui et de demain, Philippe Dalibard s'est replongé dans des souvenirs qu'il a voulu partager aux passionnés de cyclisme.
Où trouver le livre : Philippe Dalibard, Vent de dos, vent de face, édition Mémoirédition, disponible sur internet, à Cultura et dans plusieurs librairies et point de vente du département, 17 euros.
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