Jeudi 12 septembre, la nouvelle Saison culturelle de L'Ernée a été présentée à la presse. La grande nouveauté de cette année est qu'il n'y a pas une, mais trois programmations : la programmation d'automne de septembre à décembre, la programmation d'hiver, de janvier à mars, et la programmation de printemps, d'avril à juin.
" On peut aussi imaginer une programmation de l'été, car il y a aussi des animations et des événements culturels sur le territoire en juillet et août ", précise Régis Brault, vice-président de la Communauté de communes de L'Ernée, chargé de la culture. " Cela se fait de plus en plus ", explique Isabelle Yamba, directrice de la saison culturelle.
Une scénographie commune à tous les lieux
" Ce découpage, avec trois présentations, rythme la saison culturelle. Cela donne également la possibilité de poursuivre les rencontres avec les artistes susceptibles d'être accueillis, mais aussi de faire des adaptations." La présentation de la programmation d'automne a lieu ce vendredi 20 septembre à partir de 19h30 à Andouillé (lire Le Courrier de la Mayenne du 12 septembre).
Le premier spectacle, Terrain vague, de la Compagnie Sept fois la langue, sera proposé pour débuter cette soirée. Quatre autres spectacles sont programmés pour la période automnale : Dissolution, avec Rachid Bouali, les mardi 8 et mercredi 9 octobre à Saint-Denis-de-Gastines ; Min el Djazaïr de la Compagnie Hékau, le dimanche 27 octobre à Ernée ; Sous terre, de la Compagnie Matilou, les jeudi 5 et vendredi 6 décembre à Ernée ; Robert n'a pas de paillette, de la Compagnie la Fauve, les jeudi 19 et vendredi 20 décembre (le lieu est encore à déterminer).
Une autre nouveauté pour cette saison, la scénographie. " Une commande a été faite au collectif Drôle de cocos, présent lors de la clôture de la saison précédente, pour créer une scénographie tout au long de la saison, dans tous les lieux de spectacles ", indique Isabelle Yamba.
Ce qui ne change pas, ce sont les tarifs, de 5 € à 12,50 €, avec le maintien du tarif tribu et les abonnements. La médiation se poursuit également. " Cette nouvelle saison incarne vraiment le territoire, conclut Régis Brault. Elle travaille avec les habitants, chez eux, sur scène... "
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