"J'ai toujours été passionnée par les histoires de famille. C'est en me posant des questions à ce sujet que j'ai découvert la psychogénéalogie. Après une formation d'une année à l'IFPIA de Chartres-de-Bretagne, j'ai ouvert mon cabinet Ode à la création en février de cette année, pour exercer dans le cadre d'une démarche de bien-être." Il s'agit d'une reconversion pour Audrey Clavreul, dont le cabinet est ouvert chaque vendredi au 2 rue des Alouettes, à Loiron-Ruillé.
Les individus seraient définis par leur histoire familiale
Le terme "psychogénéalogie" a été initié par Anne Ancelin Schutzenberger, psychologue, dans les années 1980. Selon elle, chacun résulterait de son histoire familiale. Le génosociogramme (arbre généalogique réalisé de mémoire) permettrait de comprendre la nature des liens entre les différents membres de la famille et de s'en défaire. Les tenants de cette pratique citent en exemple le syndrome du gisant : le traumatisme d'un enfant disparu rejaillirait sur un membre de la famille plusieurs générations après, de manière inconsciente. Les praticiens de la psychogénéalogie précisent qu'ils ne sont ni médecins ni psychologues, qu'ils ne font pas de diagnostics et que leurs patients ne doivent pas cesser leurs traitements. Audrey Clavreul et Fabienne Bourny unissent leurs compétences pour proposer un atelier en trois temps : présentation de chacun des participants, instant de méditation dirigée et création du blason (le ressenti positif de chacun).
Pratique Atelier le 3 décembre à partir de 19h au Jardin des Griennes. 35 € par personne ou 30 € si participation aux deux autres séances en 2025. Renseignements et inscriptions au 06 95 29 36 18.
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