"Un grain de folie", chantait Claude Nougaro. Il en aura manqué aux Tango ce vendredi soir. À chaud, difficile d'expliquer cette sorte de sobriété trop excessive qui s'est emparée des Lavallois au fil du match face à Annecy. Jamais vraiment inquiétés, mis à part sur une frappe de Kapit Djoco sur le poteau, pas non plus inquiétants et peu inspirés malgré une possession en leur faveur (66 %), les Tango ont été punis de leur manque de spontanéité par une frappe enroulée clinique de Quentin Paris (86e). La série d'invincibilité du Stade lavallois s'arrête à dix matchs.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.