Automobilistes, motards ou cyclistes, l'arrivée de l'été rime avec gravier pour les routes du département. Un peu partout en Mayenne, le point à temps, ou enduit superficiel d'usure, vient panser les blessures des chaussées abîmées.
Un procédé peu coûteux pour les collectivités, dont le budget réservé à l'entretien des routes a été fortement diminué, avec la baisse des dotations de l'Etat. « On n'a pas trouvé mieux en matière d'efficacité et de coût. Par rapport à la pause d'enrobé, il y a un rapport de un à dix », résume Philippe Laigle, chef d'agence technique au conseil départemental.
Plus économique, le point à temps et ses gravillons sont-ils plus dangereux pour les usagers de la route ? « C'est sûr, c'est plus compliqué pour nous. Ça engendre des problèmes de tenue de la moto et modifie les trajectoires », lance le trésorier de la fédération française des motards citoyens, Guy Herriau.
Plus d'informations dans notre dernière édition du Courrier de la Mayenne.
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