Le 6 décembre, le tribunal administratif de Nantes donnait raison à Laurent Bourné, dans un conflit avec la Ville de Laval. Cet agent municipal expliquait avoir été placardisé, et n'avait plus aucune activité depuis 18 mois. La Ville de Laval contestait ce jugement devant le Conseil d'Etat. Le 12 janvier, le jugement est tombé. Le Conseil d'Etat donne raison à la municipalité. « Le Conseil d'État a statué sur les points suivants : les prétendus dysfonctionnements au sein des services de la ville ne permettent pas de caractériser un harcèlement moral. L’attitude de Laurent Bourné n’a pas favorisé le dialogue. Il n'avait pas vocation à intégrer la direction informatique (DSIT) au moment de la mutualisation », réagit la municipalité.
Plus d'informations dans l'édition du 19 janvier du Courrier de la Mayenne.
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