Agathe rentre chez elle avec l’urne contenant les cendres de son mari brutalement décédé.
Il faut se laisser emporter par le charme et la poésie de cette œuvre décalée, qui mêle comédie et drame. Malgré des longueurs, cette œuvre loufoque, qui parle sur un mode léger du travail de deuil, est aussi sympathique que réconfortante. Florence Loiret-Caille, avec son minois de femme à la dérive, est sensationnelle, tout comme Didda Jonsdottir et l’étonnante otarie, aussi saugrenue et cocasse que certaines situations.
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