Casse-toi pov' con". En 2008, Hervé Éon avait brandi ce message, écrit sur une pancarte, alors que Nicolas Sarkozy (alors chef de l'Etat) était en visite officielle à Laval. C'est sur le bord de la route que l'homme politique du parti de gauche attendait le président de la République. Le procureur lavallois de l'époque, Alex Perrin, avait poursuivi Hervé Éon pour délit d’offense au chef de l'État. Une peine d'amende de principe de 30 € avec sursis avait été prononcée.
Dans un arrêt rendu jeudi 14 mars, la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a estimé que la France avait violé la liberté d'expression du militant.
Retrouvez la suite de l'article dans Le Courrier de la Mayenne, actuellement dans les kiosques.
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