Il paraît que la croissance d'un poisson rouge dépend de la taille de son aquarium. Pour l'équipe de coworkers du Bocal, cette affirmation se vérifie. Avec son déménagement de la rue de Paradis à la rue Jules-Ferry, ils sont désormais douze à se partager le même espace de travail. « Depuis septembre, nous avons pas mal recruté », reconnaît Raphaël Juildé, écrivain et président de l'association Vivement lundi, qui gère Le Bocal. Il y a un an, les coworkers n'étaient encore que sept.
Cela fait un mois que le Bocal a investi son nouvel espace. « C'est un lieu plus agréable pour travailler. L'ancien, avec sa vitrine, était exposé, donc ce n'était pas un refuge convivial. » Le Bocal a désormais sa place au 10, rue Jules-Ferry, au même étage que les sénateurs UDI, à la place d'une société de courtage qui a traversé la rue.
Ecrivain, graphiste, bloggueuse, formatrice en anglais, traductrice, consultant marketing et même psychologue à domicile, les coworkers sont tous travailleurs indépendants. « Le coworking, ça permet de se motiver, de voir des gens, de rencontrer des univers différents, de se faire des réseaux, de sortir de la routine de la maison », expliquent-ils.
Plus d'informations dans Le Courrier de la Mayenne du 6 avril.
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