Tout sépare Roni, richissime joailler peu porté sur la religion, et son frère Zef, un musicien austère et très religieux.
Cette peinture d’une famille juive écartelée entre tradition et modernité, austérité et étalage de son fric, avait un fort potentiel comique... ou émouvant. Mais le film n’est ni l’un ni l’autre, et seules les apparitions d’Ivry Gitlis, hilarant en grand-père ayant perdu la boule, apportent un peu de fraîcheur à un film très décevant.
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