Pourquoi avoir choisi le sujet de la permaculture ?
Tous les ans, nous recherchons de nouvelles actions. J'ai amené l'idée de la permaculture, après m'y être intéressé à titre personnel pour mon potager. Mon objectif était d'être autonome en légumes. Sans aller dans l'excès, l'agriculture conventionnelle a ses limites. Elle appauvrit la terre, même si les agriculteurs français tendent vers le mieux. Et le bio ne règle pas tout. La permaculture semble être une solution d'avenir pour le monde.
Qu'est-ce-que la permaculture ?
C'est assez difficile à définir. La permaculture vise à concevoir des systèmes, humains et agricoles, en s'inspirant de l'écologie naturelle. Elle prend en considération la biodiversité de chaque écosystème et ambitionne une production agricole durable, très économe en énergie et respectueuse des êtres vivants et de leurs relations réciproques.
Et alors, dans votre potager, qu'avez-vous changé ? Quel a été le résultat ?
C'est encore trop tôt pour le dire. J'ai acheté des poules, une serre. J'ai couvert le sol. Peut-être que ça demande un peu plus de temps au début, à tout mettre en place, mais maintenant, je n'ai quasiment plus rien à faire.
Rendez-vous à 20h30 dans la salle de spectacles de l'hôpital. 5 € l'entrée. Deux intervenants (un membre du Civam Bio et un agriculteur en reconversion) échangeront après la projection avec le public.
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