* Comment passe-t-on du punk à l'aumônerie ?
Je suis devenu punk par manque de confiance en moi. Je n'étais pas un enfant martyr, au contraire. Mais je me suis transformé en marginal à cause des méandres de la vie. Puis d'autres injustices m'ont ouvert les yeux, et j'ai rencontré le chemin du Bon Dieu.
* Ce qui fait de vous l'adjoint-aumônier le plus tatoué de France... !
Mes tatouages témoignent de ma vie d'avant. J'étais un idéaliste et je n'aimais pas la société. C'est ainsi que j'ai rencontré des punks, des malades ou des gens en fin de vie. Lorsque ma femme est décédée, j'ai crié au secours. Dieu était là, à l'écoute. J'ai appris à changer mon regard de direction. J'ai compris que je n'étais pas le centre du monde.
La suite de l'interview, dans Le Courrier de la Mayenne, actuellement dans les kiosques.
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