Il devient urgent d’intervenir sur le beffroi, telle est la conclusion de l'audit. « Les efforts mécaniques engendrés par le balancement des cloches, ainsi que les chocs des battants, provoquent des vibrations importantes qui se répercutent continuellement et au fil du temps sur la toiture en ardoise mais aussi sur la maçonnerie de la tour du clocher lors de la mise en volée des cloches » explique Cédric Bouleau de l’entreprise Bodet. L’état sanitaire des trois cloches est également sans appel. Les élus ont donc adopté les travaux de restauration estimés à 64 358,55€ HT, subventionnés jusqu’à 60 % par la Région et le Département.
Jeudi 22 juin, les campanistes de l’entreprise Bodet sont intervenus pour descendre les deux cloches endommagées : « Les cloches partent à l’atelier de Trémentines (49) pour y être restaurées ». Les travaux de restauration du beffroi et des équipements des cloches dureront deux à trois semaines et débuteront fin septembre/début octobre. La grosse cloche continuera toutefois à rythmer les heures sur la commune, en revanche, « l’Angélus ne sera plus sonné pour l’instant ».
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.