L'année prochaine, Jean-Luc Vannier devrait ranger ses pistolets. Définitivement. L'unique pompiste de Pontmain s'est fait une raison : sa station essence devrait fermer boutique dans six mois. La faute à une mise aux normes imposée par le gouvernement : réaménagement de pistes, installations de cuves double parois... « Rien que pour la mise à distance entre la route et les pompes, c'est impossible. Il faudrait que je recule la station de 5 mètres », rapporte le pompiste. Problème, Jean-Luc Vannier devrait ainsi casser une partie de la maison. Impossible. « Si j'installe également les séparateurs d'hydrocarbure demandés, il y en a pour plus de 80 000 euros. »
La suite de l'article dans Le Courrier de la Mayenne, actuellement dans les kiosques.
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