Dernière candidature en date, celle de Monique Bourgoin, ancienne attachée parlementaire de François Zochetto. Née à Ernée dans une famille d'agriculteurs engagés dans la vie municipale, Monique Bourgoin se présente en candidate libre tout en affirmant son engagement au centre.
Le moins que l'on puisse dire c'est que les candidatures se bousculent au portillon du centre. Monique Bourgoin serait la cinquième candidature sous cette étiquette si celle de Guy Ménard, maire d'Ambrières-les-Vallées, se confirme. Sont déjà connues celles de la sortante Elisabeth Doineau (UDI), de Philippe Henry, maire UDI de Château-Gontier, et de Jean-Marc Allain, maire de Gorron. Ce dernier a entamé il y a trois semaines une série de réunions dans les anciens cantons mayennais.
A ces candidatures centristes, il faut ajouter celles de Guillaume Chevrollier, l'ancien député Les Républicains ; de Valérie Hayer, assistante parlementaire de l'euro-député Jean Arthuis, et de Michel Angot, maire de Mayenne, pour le mouvement macroniste La République en Marche et Jean-Michel Cadenas pour le Front national. A gauche, Claude Gourvil représentera Europe-Ecologie/Les Verts. Le Parti socialiste n'a pour l'heure présenté aucun candidat mais devrait logiquement soutenir Michel Angot qui avait appelé à voter Guillaume Garot aux législatives contre la candidate En Marche. Si La France insoumise et le PCF (Aurélien Guillot devrait annoncer sa candidature prochainement) présentent chacun un ou deux candidats, ils seront une bonne douzaine à tenter de décrocher un confortable fauteuil au Palais du Luxembourg.
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