L'objectif était de faire travailler ensemble les deux équipes de sapeurs-pompiers. 25 professionnels de la sécurité aux personnes se sont rendus opérationnels comme s'il s'agissait d'une situation réelle. L'exercice a même nécessité la mise en place d’un poste médical avancé.
Dans la campagne, un conducteur, pris de malaise au volant, percute un groupe de marcheurs, faisant une dizaine de victimes. Le scénario est planté. Très vite sur les lieux, un gradé du commandement des opérations de secours dresse un premier bilan de la situation. Maintenant sur zone des équipes de premiers secours et trois véhicules de secours aux victimes remontent des informations au centre opérationnel départemental d'incendie et de secours. Les pompiers prennent en charge les blessés par ordre de priorité, en commençant sur place par les plus graves. Les personnes en état de choc sont mises à l’écart pour un soutien psychologique.
Un poste médical avancé gonflable
L'exercice monte en puissance… La zone est éclairée, une structure gonflable est installée. Il s'agit d'un poste médical avancé qui peut contenir dix brancards. La mission s'achève par l’évacuation des victimes vers le poste médical avancé. Les plastrons, c'est-à-dire les faux blessés, étaient joués par d'anciens pompiers ou fils de pompiers.
Cet exercice est à l’initiative du lieutenant Toueille, chef du centre de secours de Cossé-le-Vivien, qui a coordonné les opérations avec l’adjudant Jérémy Leroy, chef du centre de secours de Quelaines. Il a duré deux heures et a répondu aux attentes.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.