La trilogie Hunger Games dépeint une vision cauchemardesque du futur via un modèle de société, qui allie le pire de l’Antiquité (les jeux du cirque) et de la civilisation occidentale (la télé-réalité). Ce deuxième épisode affiche un rythme assez lent pour un film de cet acabit, de surcroît quasi dépourvu de scènes d’action. Mais le film laisse dans l’esprit du spectateur un goût d’inachevé, à l’issue de sa fin brutale. Épisode de transition, ce récit se démarque par nombre d’idées démentielles. Un curieux mélange qui fait de l’aventure de Katniss un film atypique à la forme audacieuse.
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