Pour fêter ses 20 ans, Claude Gombert va encore devoir patienter deux ans et la prochaine année bissextile. Le jeune retraité, installé dans une petite maison à La Baroche-Gondouin, est né le 29 février 1940. Mais cela ne l’a pas empêché de célébrer son anniversaire cette année. « En général, on fêtait mon anniversaire le 28 février. Après, on change de mois », raconte le grand amateur de bricolage.
Lors des années bissextiles, son anniversaire prend même un peu plus d’ampleur. « On fête ça souvent un peu plus », reconnaît le père de deux enfants et grand-père de trois petits-enfants. Ces derniers n’ont d’ailleurs aucune difficulté à se souvenir de la date.
Pas que des avantages
Mais cette date de naissance particulière n’a pas que des avantages. « Au début surtout, l’administration n’admettait pas qu’on soit né un 29 février, se souvient le passionné de médecine. J’ai parfois refusé de signer des papiers parce qu’il y avait une erreur sur ma date de naissance. » L’ancien assistant radiologue se rappelle même d’une fois où il y avait « une erreur sur ma carte d’identité ».
Maintenant, l’informatique est plus permissive. Et heureusement, car le nombre de démarches administratives a beaucoup augmenté.
Retrouvez l'intégralité de notre article dans Le Courrier de la Mayenne paru jeudi 1er mars.
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