Au royaume de Bubunne, les hommes vivent en burqa, cantonnés aux tâches ménagères.
Cendrillon, revue et corrigée par un cinéaste iconoclaste, qui s’amuse à inverser les rôles, tel est le sujet de cette comédie originale. Le film est émaillé de trouvailles, tant dans les images que dans les dialogues. Mais, si l’on sourit souvent, on peine à rire, car le cinéaste verse dans le grand-guignol, sans tirer parti de l’originalité de son sujet.
Dans cette satire iconoclaste, tout passe à la moulinette : les dictatures, la religion, l’armée, etc. Mais le cinéaste n’évite ni les vulgarités ni les scènes suggestives, et la fin est une apologie de la théorie du genre.
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