« Si on devait se passer des médecins étrangers dans les hôpitaux, les administrations et dans la médecine de ville, ce serait très très compliqué. » La réflexion est du docteur Dima, président du Conseil de l’ordre des médecins en Mayenne. « Nous sommes contents de les trouver, ils s’intègrent », poursuit-il.
Combien de médecins étrangers sont-ils installés en Mayenne ? Difficile à dire. « Il y a deux ou trois ans, ils représentaient 70 % des inscriptions à l’ordre des médecins », indique le docteur Dima. Cette année, sur douze inscriptions, quatre étaient des généralistes étrangers. C’était avant la dernière commission, où, sur quatre candidats, trois étaient diplômés hors Hexagone.
Parler français, une obligation
Ces dernières années, beaucoup de médecins généralistes roumains se sont installés dans nos contrées. « On commence à avoir des Portugais, des Grecs, des Italiens », liste le docteur Dima. Mais les médecins étrangers doivent remplir une condition avant d’être inscrits au Conseil de l’ordre : la langue.
La suite de notre dossier sur les médecins généralistes étrangers, à retrouver dans Le Courrier de la Mayenne du 13 septembre.
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